Jane D. Hodge
Camp : Camelot Messages : 130 Je suis arrivé(e) le : 20/05/2014 Prénom et nom (2e perso) : Athala Gurthimoth, Princesse de Caledonie | Sujet: Jane Dagmar Hodge • Princess of North Mar 20 Mai - 18:30 | |
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Jane D. Hodge Bonjour! Je m'appelle Jane Dagmar Hodge. Je suis âgé de 32 ans et je suis mariée. Dans le monde des contes, on me connaît sous le nom de Athala Gurthimoth. Je viens de Calédonie et je suis mi-humaine, mi-louve. Je suis Proviseur et mon grand amour est Nicholas Hodge. Je viens du conte des légendes arthuriennes et je souhaite intégrer le groupe Colère. Quant à mon visage, il m'a été prêté par Olga Kurylenko. Mon caractère A une époque que l'on appelait les Dark Ages, le caractère et la personnalité des êtres humains étaient totalement différent du XXIe siècle. Autrefois, j'étais cette personne, sauvage, violence, à qui l'on attribuait le visage du loup : Les jeunes femmes de mon âge étaient dociles ou bien éduquées, pleines de valeurs et d'idées à défendre, parce qu'elles pensaient que ce qu'elles faisaient était juste. Moi je n'en avais rien à faire, je me moquais bien des idéaux que les gens croyaient défendre, parce qu'il y avait toujours quelqu'un pour prouver que vous avions tort par rapport à eux. Et puis en Calédonie on ne nous élevait pas ainsi, nous étions un peuple guerrier. Il me semblait avoir hérité de ces qualités là qui seraient des défauts pour d'autres. Mais nous avions l'âme forte et la rancune tenace. Depuis toute petite j'avais toujours été discrète et bagarreuse, on me disait farouche comme une louve avec le charisme du lion, bien que petite je tenais plus du chat sauvage. Mais je n'avais jamais essayé de cacher cette hargne en moi, celle qui me permettait d'aller jusqu'au bout des choses, jusqu'aux frontières de mes limites. Je n'étais pas pour autant dépourvu d'éducation, je savais lire et écrire mais je n'aime pas parler. Non je n'étais même pas bavarde du tout mais je savais bien manipuler les gens et dire ce qu'il fallait sur l'instant mais lorsqu'il n'y a rien à dire je me taisais. Ce qui faisait que peu de gens pouvaient se vanter d'avoir déjà entendu ma voix. Pour ce qui était des relations humaines, je tenais davantage du loup que de l'humain. Cette créature était très sociable, seulement avec les membres de sa meute. Et en pays étranger personne ne faisait parti de ma meute. Je préférais être seule qu'en mauvaise compagnie, surtout que je faisais difficilement confiance... Je trahis aisément pourvu que cela soit dans mon intérêt. Il fallait savoir que je n'avais aucun remord à le faire et encore moins à tuer. C'est un peu pour cela que je me suis retrouvé à Camelot, chasseuse expérimentée je traquais sans merci, il n'y avait pas de pitié chez mon peuple, la guerre était notre mère, notre première raison de vivre. Je n'étais que l'un de ses nombreux instruments et ce que je faisais, j'aimais le faire dans les règles de l'art. Un brin joueuse, je ne me laissais pas abattre, j'allais toujours de l'avant sans me laisser faire. Peu souriante, j'avais toujours mauvais caractère mais je réfléchissais avant de me lancer dans quelque chose. Observatrice, j'avais l’œil partout pour discerner le vrai du faux, et ce qui devait ou ne devait être vu. Et le premier qui tentera de me tenir tête risqua de la sienne au bout d'une pique. Je n'aimais pas les gens qui se croyaient permis de dire tout haut des pensées qu'ils feraient mieux de garder pour eux. Le respect était une chose que tout un chacun devait connaître et celui qui en manquera aura prononcer ses dernières paroles... Aujourd'hui, dans le cadre d'une malédiction dont je n'ai pas conscience, cette personnalité qui est mienne est associée à l'image d'une femme froide, stricte, parfois austère mais toujours élégante. Une femme dénuée de sentiments pour autrui, sans compassion, sans pitié. Il était une fois J'aurais du être un garçon, j'ai toujours entendu ça depuis que je suis venue au monde. Mon père le roi voulait un fils, il eut une fille à qui il donna un nom d'homme : Athala. Pour ceux qui ne connaissent pas notre culture ils penseront que non, c'est bien un prénom de fille. Mais moi je le sais et je vous le dis. J'ai vu le jour alors que dehors la neige tombait. Je ne sais pas pourquoi mais depuis lors ma peau est toujours plus ou moins restée blanche lorsque vient l'hiver. Je n'étais pas un bébé bien bruyant, très tôt j'ai appris à prêter attention aux choses qui m'entouraient. Je grandi avec les autres garçons de ma cité du nord, me battant avec eux comme un démon parce que je devais me faire une place. Il était de coutume chez nous d'envoyer les jeunes garçons passer une nuit en pleine nature pour en faire des hommes, je n'échappai par à la règle, mon père souhaitant toujours faire de moi le fils qu'il n'avait pas eut.
Je me retrouvai à l'âge de quinze ans à errer dans la nature par une nuit d'automne, un couteau de chasse à la ceinture. Pour la première fois je me senti libre. Il n'y avait plus de jeu à jouer, c'était la grande mère nature qui s'offrait à moi avec ses dangers et ses merveilles. Je marchai depuis deux heures alors que le soleil déclinait dans le ciel, je commençai à apercevoir les courbe d'un lac perdu dans le brouillard. Il faisait froid. Ma peau de bête sur les épaules, j'arpentai les rives du lac le plus silencieusement possible, scrutant le paysage et percevant les moindres sons qui me parvenaient. Perchée sur un rocher qui donnait sur la masse d'eau sombre, je regardai l'étendu lisse en face de moi. Soudain un loup sorti du brouillard, trottant sur la caillasse de la rive. Il avait l'air jeune et bien curieux. Sans doute avait-il suivie ma piste depuis que j'avais longé la berge. Je ne savais pas trop, mais nous étions resté un long moment nous observe dans le silence presque totale. A cet instant là je ne saurais dire ce qui s'était passé entre nous, mais il avait semblé reconnaitre en moi l'un des siens. Alors le loup était venu s'asseoir à côté de moi pour regarder à son tour le lac. Je pu poser ma main sur son cou pour le caresser. La nuit tomba vite et lui comme moi n'avions rien mangé. L'animal descendit du rocher sur lequel nous étions perchés, je ne voyais pas grand chose, alors il me guida. Nous quittions les bords du lac pour nous enfoncer dans les terres à la recherche de gibier. Je savais ce que je devais faire et la parole n'était plus d'aucune utilité pour communiquer entre nous, de simple regard nous suffisaient, nos yeux brillant sous la faible lumière de la lune qui perçait à travers le brouillard. Le temps passa sans que l'on puisse dire combien, presque suspendu et pourtant je savais que la nuit était déjà bien entamée lorsque se détacha une silhouette animal devant nous. Notre duo se sépara, lui à droite, moi à gauche, pour encercler la créature à quatre pattes. Elle n'était pas bien grande cette bête. Je sorti lentement mon couteau, me déplaçant presque à quatre pattes pour faire le moins de bruit possible, répartissant le poids de mon corps pour ne pas perdre l'équilibre. Lentement, doucement, nous ne faisions qu'un avec la nature alentours. Et puis d'un commun accord, sans rien avoir échangé, nous attaquions le cervidé qui se trouvait entre nous. Pendant qui lui immobilisait l'animal, moi je plantai la lame de mon couteau dans la gorge de l'herbivore, lui sectionnant l'artère principale qui montait au cerveau. Je venais de tuer pour la première fois et cela me semblait plus que normal. Après quoi le loup emporta la carcasse dans un abris où je pu allumer un feu comme on me l'avait enseigné car en Calédonie il fallait savoir le faire si l'on ne voulait pas mourir de froid l'hiver. Le feu brûlait joyeusement dans le petit foyer qui lui avait été fabriqué dans un creux du sol. Je dépeçai avec soin le cadavre encore chaud tandis que le loup me regardait faire avec un oeil attentif. Lui préféra cru, moi cuit. Le tout dans un silence glaçant malgré la présence du petit feu devant nous. Et sans m'attarder plus sur l'histoire, je me suis endormi près de lui, sentant la chaleur du feu et de sa fourrure me réchauffer.
Le lendemain il n'était plus là, le feu était éteint. Il m'avait laissé la carcasse de l'animal tué la veille. Je récupérai alors la peau et la tête du cervidé pour montrer le fruit de ma nuit passée en solitaire. A ce moment là je ne savais pas que j'avais été la seule à être en compagnie d'un animal qui m'avait appris bien plus que le meilleur chasseur humain. Non je ne le savais pas. Dehors il faisait jour tandis que je traînais ce qui restait de l'animal. Quelle heure il était? Aucune importance, je devais rentrer au village... Le brouillard se levait pour découvrir l'emplacement de ceux de ma tribu. Tout alla vite même si le temps me paru long pour rejoindre les miens, j'étais la seconde arrivée, au vu de la joie de mon père qui m'attendait, mais je savais bien qu'il n'était pas heureux pour autant, il imaginait pendant quelque seconde le retour du fils prodigue qu'il n'avait jamais eut. Mais il avait une fille bien plus capable que n'importe lequel des guerriers de leur tribu. Et ce loup... je ne pensais jamais le revoir, illusion d'un songe d'une nuit, j'étais pourtant devenue l'un des siens. Cela était marqué à jamais dans mon âme.
Je continuais de grandir, devenant lentement la fierté de mon père. Je rivalisais avec les hommes de notre royaume. Je étais devenue l'une des rares guerrières de notre peuple. Tueuse silencieuse, certains disaient qu'on m'avait coupé la langue lorsque j'étais enfant, mais je n'étais simplement pas d'un naturel bavard. Lorsque j'eu atteins ma vingtième année, le roi mon père me fit envoyé auprès du druide qui le conseillait. C'était un homme sage qui savait bien plus de choses qui quiconque sur nos terres. Au moment de notre rencontre, je fis face au loup que j'avais déjà vu. Lentement, l'animal pris forme humaine. Je compris alors que le vieil homme m'avait aidé durant cette nuit initiatique. Ce dernier m'expliqua alors qu'il m'avait choisi pour devenir l'élu des loups. Riez jeunes ignorants, car aucun de vous ne saurait parler de mon peuple mieux que nous même. Ainsi toute la nuit durant l'homme insuffla dans mon esprit l'âme des grands chasseurs vénérable. Au lendemain, je percevais le monde différemment, il ne ressemblait plus à celui que je percevais avant cette nuit. Si j'étais déjà d'un air peu joviale, tout cela m'avait rendu plus terrible encore, j'avais revêtu des airs carnassiers, semblable à l'animal qui est à présent mien. Je reçu avec honneur une arme aux propriétés merveilleuse, une lance capable de tuer tous êtres issu de la magie et briser les sortilèges les plus puissants. Le Druide me fit alors prêter serment d'en user avec discernement et sagesse, car entre les mains d'un ennemi, la lance pourrait devenir un grand mal.
Le jour suivant mes trente ans, mon père me fit chercher afin de me faire part d'une grande nouvelle. Il avait décidé de faire alliance avec le royaume de Camelot. Je ne comprenais pas le désire qu'il avait à vouloir forger une amitié avec un roi qui détestait la magie, mais je savais que l'idée venait de notre Druide. Si ce dernier le lui avait conseillé, c'est que les raisons étaient bonnes pour notre peuple. Ainsi je partis avec une troupe de vingts de nos meilleurs hommes. Le roi envoyait sa propre fille comme cadeau afin de témoigner de sa sincérité, mais aussi de la force non négligeable que nous représentions pour Camelot. Sans attendre, je me mis en route avec la vingtaine de guerriers d'élites mis à la disposition de notre futur allié. Le Roi de Calédonie lui avait envoyé en gage de présent, ce qui devait constitué une nouvelle force armée pour le royaume du Pays de Galles. Une bien généreuse et redoutable offre qui ne pouvait être refusé sous aucune condition. Durant le voyage, nous passâmes inaperçu tel des fantômes, coupant à travers champs et forêts sans jamais prendre les sentiers tracés. Nul ne devait savoir que les Pictes étaient passés au delà du mur d'Hadrien, galopant à toute volé pour rejoindre le Pays de Galles. Sur le chemin j'avais remarqué qu'un jeune loup les nous suivait. Une nuit que les hommes dormaient, je suis allée à la rencontre de l'animal. Curieux et confiant envers l'humaine, il se laissa approcher. Sous la pleine lune un étrange lien se noua entre nous au moment où je posais ma main sur sa tête. Ses yeux se teintèrent d'une couleur dorée. Au lendemain, il ne me quittait plus, pareil à un fidèle compagnon de route.
L'histoire qui s'en est suivis, les Pictes aux côtés de Camelot, cela tomba dans l'oublie. De si nombreuses aventures, héroïques et merveilleuses... Un royaume qui tomba dans une bien sombre malédiction, effaçant la mémoire de chacun de ceux qui avaient contribué à cette fabuleuse légende. Arthur avait rejoint Avalon, mortellement blessé par Mordred lors de la bataille de Camlann. Quant aux autres... Mes troupes et moi même étions restés auprès de la reine Guenièvre pour honorer l'alliance qui unissait nos deux royaumes. Mais un destin tout autre nous attendait... Sans souvenir autres que ceux qui m'étaient destinés, je m'étais réveillée un matin au côté d'un homme que je devrais considérer comme mon mari. J'arborais une nouvelle identité, celle de Jane Hodge, épouse de policier et proviseur dans un collège de Fabulis City en Angleterre. Mes souvenirs d'autrefois avaient disparu, ne laissant plus que ceux de cette Jane, mais ils étaient tellement vagues, ils n'étaient pas à moi. Néanmoins, il était impossible de savoir tout cela, je devais me cantonner à ce nouveau rôle qui me rendait un brin malheureuse... Mais un jour cette malédiction viendrait sans doute à se briser et alors la vérité serait dévoilée... Derrière mon écran En vrai, je me nomme Loup d'Acier mais sur le web on m'appelle Chaussette. Actuellement j'ai 28 ans, et si j'ai bien regardé dans ma culotte, je suis un(e) fille. Je me suis fait piéger sur Keep it Secret en acceptant de reprendre ce rôle terrible, et j'aimerai dire que le grand méchant loup vous semblera moins méchant après moi. fiche par © anouk
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Jackson Davies
Célébrité : Eoin Macken Camp : Camelot Messages : 94 Je suis arrivé(e) le : 20/05/2014 Age : 39 Localisation : Rabbit Hole Emploi/loisirs : bouc émissaire à plein temps Prénom et nom (2e perso) : Gauvain d'Orcanie | Sujet: Re: Jane Dagmar Hodge • Princess of North Mar 20 Mai - 18:47 | |
| Elle est belle ta femme (a) |
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Jackson Davies
Célébrité : Eoin Macken Camp : Camelot Messages : 94 Je suis arrivé(e) le : 20/05/2014 Age : 39 Localisation : Rabbit Hole Emploi/loisirs : bouc émissaire à plein temps Prénom et nom (2e perso) : Gauvain d'Orcanie | Sujet: Re: Jane Dagmar Hodge • Princess of North Mar 20 Mai - 18:53 | |
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Frederic Richards
Célébrité : Colin Morgan Célébrité (2e perso) : Colin Morgan Camp : Celui d'Arthur Messages : 309 Je suis arrivé(e) le : 04/05/2014 Localisation : Sur la rue Emploi/loisirs : Sans emploi Humeur : Neutre
DRAKON
E MALE SO FTENGOMETTA TESD'HUP'ANENKES ! Prénom et nom (2e perso) : Merlin / Emrys Rang (2e perso) : Magicien de la cour | Sujet: Re: Jane Dagmar Hodge • Princess of North Mar 20 Mai - 18:55 | |
| Tu es validée ! 8D
*se sauve du loup comme sur le smiley* |
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Jane D. Hodge
Camp : Camelot Messages : 130 Je suis arrivé(e) le : 20/05/2014 Prénom et nom (2e perso) : Athala Gurthimoth, Princesse de Caledonie | Sujet: Re: Jane Dagmar Hodge • Princess of North Mar 20 Mai - 19:39 | |
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Alaïs Lewis
Célébrité : Laura Donnelly Camp : Avalon/ Arthur Messages : 191 Je suis arrivé(e) le : 05/05/2014 Emploi/loisirs : Réceptionniste au Granny's Bed and Breakfast / Dame du lac Prénom et nom (2e perso) : Viviane: La Dame du Lac | Sujet: Re: Jane Dagmar Hodge • Princess of North Mar 20 Mai - 22:53 | |
| Bah moi je suis bien contente de ne plus être au collège^^ |
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