Bonjour! Je m'appelle Chandra Jenkins. Je suis âgé de 22 ans et je suis célibataire. Dans le monde des contes, on me connaît sous le nom de Alix de Gaunes. Je viens de Camelot et je suis humaine et (un peu, presque pas en fait) magicienne. Je suis étudiante et mon grand amour est encore inconnu à ce jour. Je viens des Légendes Arthuriennes et je souhaite intégrer le groupe Envie. Quant à mon visage, il m'a été prêté par la belle AnnaSophia Robb.

Alix, maintenant connue de tous sous le prénom de Chandra a toujours été une enfant obstinée et impertinente. Enfin, toujours avec respect mais la fillette était du genre à dire les choses telles qu'elles étaient. Avec le temps, elle a appris à le faire avec plus de finesse et à développer un sens de la répartie assez fin mais toujours très bien senti. Franche mais fine donc, elle sait aussi manier les mots pour réussir à montrer qu'elle n'est pas la petite chose fragile que tout le monde croit et sait aussi comment replacer les autres lorsqu'ils en ont besoin.
 
Elle a apprit à se battre en observant les chevaliers et en obtenant des leçons de son père et de ses amis proches ou en faisant semblant de jouer avec les fils de chevaliers, qui plus tard, pourraient le devenir aussi. Cruelle injustice que celle-ci. Elle manie donc l'épée et les armes médiévales à la perfection. Sa place de fille, elle la vivait mal à Camelot : impossible pour elle de suivre les traces de son père alors qu'elle aurait été surement plus efficace que certains chevaliers, mais ici elle la vit bien. Plus acceptée comme fille dans ce monde, en plus elle ne se souvient de rien alors... Cependant, elle n’a pas eu l’occasion de rentrer à l’école de police comme elle l’aurait souhaité acceptant finalement de se plier aux supplications de son père, trop inquiet pour elle. Elle sait donc prendre en compte l’avis des autres sans pour autant les suivre sans arrêt, elle tente de faire au mieux pour elle mais sans en oublier ses proches.
 
A Camelot, elle a très vite développé un autre intérêt. Les livres. Elle a lu beaucoup de livre que son père lui apportait de la bibliothèque du château. Elle a passé de nombreuses journées à apprendre dans toutes les cahutes des artisans pour trouver sa voie. Elle s'y connaissait beaucoup en plantes et en remède, mais aussi en couture. Aujourd'hui, jeune étudiante, elle étudie avec application et de très bons résultats pour devenir vétérinaire même si parfois elle sent comme un léger malaise en elle. Elle est aussi inscrite au dojo de la ville où elle se fond parfaitement au paysage montrant des talents assez innées pour les arts martiaux : si son esprit à oublié, son corps lui s'en souvient.  
 
Chandra c’est un mélange savant entre une personnalité explosive et impulsive et une personnalité douce et réfléchie. Elle n’est pas facile à suivre et surement pas facile à vivre mais elle a tout de même des qualités qui rattrapent un peu ses défauts. Surtout qu’elle est jolie à regarder alors elle ne s’en fait pas, elle finira bien par trouver quelqu’un qui soit prêt à vivre à ses côtés en l’acceptant telle qu’elle est. En attendant, elle s’occupe de ses amis et de son père tout en continuant à grandir et à se construire.  

A 22 ans, Chandra peut se vanter d’avoir vu pas mal de choses. Mais elle peut aussi se vanter d’avoir toute sa vie devant elle pour découvrir encore de nombreuses choses. Elle a grandi de manière simple, aimée et choyée par son père, policier dans leur bonne vieille ville. Leur maison n’était pas des plus grandes mais elle était suffisante pour eux et l’absence de sa mère a été comblée par la présence de sa tante. Chandra, comme toutes les enfants, est tombée de nombreuses fois, s’est égratignée et s’est surement cognée une paire de fois mais elle adorait ça. Pas qu’elle soit maso, mais c’était une tête brûlée, ayant hérité du courage de son père. Elle a demandé très jeune à faire du sport. Pas de la danse ou de l’équitation comme la plupart de ses copines, non, elle voulait faire un sport de combat. Son père l’a donc inscrite à un cours de Taekwondo. Elle en a pratiqué quelques années avant de tenter le Judo, puis elle a intégré un club de combat avec des armes médiévales. La plupart de ses entraîneurs s’accordent à dire qu’elle a de grandes capacités et une facilité déconcertante pour intégrer les mouvements. Ce qu’elle ne sait plus elle, son corps s’en souvient.
A l’école, la fillette a eu des hauts et des bas, comme tous les autres. Des hauts parce qu’elle était souvent première de sa classe et des bas parce que son caractère un peu brut lui a souvent valu des disputes avec ses amies. Elle était pourtant gentille et volontaire mais un peu trop franche peut être. Avec le temps ses notes sont restées bonnes bien sur et elle a appris à devenir plus fine et à adoucir un peu son caractère pour réussir à garder ses amies. Bien sur, parfois elle bouillonne et alors là ça explose mais la plupart du temps, elle réussit à gérer son caractère fort. Elle s’est longuement demandé ce qu’elle allait pouvoir faire après son diplôme. Pour elle, il était évident qu’elle suivrait les traces de son père et qu’elle intègrerait l’école de police, oui mais son père lui la poussait à faire autre chose : trop dangereux, pas pour les filles. Même si dans ce monde les mentalités ne sont pas les mêmes qu’à Camelot, il est évident que les filles flics sont toujours un peu plus stigmatisées et son père ne voulait pas de ça pour elle. Alors la question de son avenir est restée longtemps ouverte.
 
De même que la question de ses origines. Son père ne parlait jamais de sa mère et c’est encore vrai aujourd’hui : peu importe comment Chandra aborde la question, il trouve toujours comment changer de sujet sans avoir à lui répondre. Oh bien sur il ne s’énerve pas, mais il détourne la question. Elle sait juste que sa mère est morte en couche. Son père lui a bien sur assuré que ce n’était pas de sa faute : un problème d’infection, un foutu microbe qu’il a dit. Mais la jeune fille ne cesse de se poser des questions sur tout ça et sur la personne qu’était sa mère. Aujourd’hui, elle n’en parle plus, elle a compris que cela ne servait à rien. Mais à 16 ans, l’adolescente a su retourner ça à son avantage : elle s’est fait offrir un chat. Son père n’y a pas vu d’inconvénient et a accepter. Il voulait adopter un chat errant mais la jeune fille au caractère fort et affirmé a trouvé une dame vendant des chats. Pour atténuer l’agacement de son père, Chandra en a payé la moitié et l’a remboursé plus tard en cadeau de Noël pour qu’il soit en mesure de voir qu’elle ne pensait pas qu’à elle. Bien sur, cela ne comble pas le trou béant du secret entourant sa mère mais cela l’apaise un peu.
 
Dès qu’elle a eu l’âge, la jeune fille a fait du babysitting et du dog sitting pour arrondir ses fins de mois : son père bien que loin d’être pauvre n’était pas forcément du genre à lui donner beaucoup d’argent de poche préférant économiser pour les études de droit qu’il rêvait pour sa fille. Donc elle a du gagner sa croute autrement si elle voulait pouvoir avoir une paire de chaussures et un pull à la mode. Ce qu’elle a fait avec plaisir et toujours de façon à ce que ses patrons la rappellent. Son père était très fier d’elle. Et elle aussi : fière de pouvoir dire qu’elle s’était payé elle-même son super jeans. Elle s’est très vite découvert des passions pour la mode et pour les animaux. Elle aimait bien les enfants mais ce n’était pas vraiment pareil que pour le reste. Et même si elle adorait faire les magasins elle ne savait pas très bien dessiner alors se lancer dans une carrière de styliste ne semblait pas vraiment à sa portée. A la place, elle a choisi d’intégrer l’école vétérinaire pour pouvoir soigner des animaux. Aujourd’hui en première année pour devenir vétérinaire, elle a obtenu son bachelor fait en sciences et sciences humaines avec les meilleures notes de sa promo. Elle continue sur sa lancée bien décidée à montrer à son père que même si ça coûte cher, cela en vaut la peine. Elle rentre chez elle tous les soirs pour préparer le repas pour son père qui « vieillit » paisiblement en continuant sa carrière de policier et pour s’occuper de son chat. Elle donne aussi des cours à des collégiens pour les aider dans certaines matières, quelques heures par semaine. 

Voilà ce dont se souvient Chandra, sa mémoire effacée et remplacée par une vie fausse et n’ayant jamais eu lieu et ce qu’elle vit depuis 28 ans sans vraiment se rendre compte que le temps ne s’écoule pas de la même façon en ville. Mais, avant il en allait autrement. Dans le monde des contes, Chandra s’appelait Alix, elle était la fille de Bohort de Gaunes et de Agathe, une jeune servante. Mais la jeune femme s’est vue forcée à quitter Camelot à cause de sa pratique de la sorcellerie. Personne ne sait ce qu’il est advenu d’elle et la plupart des gens ignorent même pourquoi elle est partie. Alors pour tout le monde, il est entré dans les esprits que Agathe était morte en couche. Voilà la version que Bohort a raconté à son enfant toute sa vie sans vraiment savoir si sa mère ne reviendrait pas un jour.
 
Pendant que son père, chevalier à la cour du roi de Camelot, partait en mission, elle vivait chez son oncle. Son cousin, aspirant chevalier ne cessait de lui montrer à quel point lui était génial et elle était nulle à être une fille. Alors qu’Alix n’avait qu’une envie, un rêve : devenir à son tour chevalier pour suivre les traces de son père, elle savait que cela ne lui serait pas permis. Elle a du trouver autre chose. Bien sur, elle apprit tout de même les bases de combats, même un peu plus que ça : agile et vive la fillette puis la jeune femme n’était pas en reste face aux autres apprentis : elle réussissait même parfois à compenser leur différence de force par de la ruse et de la rapidité. Mais voilà elle ne pourrait pas prendre les armes à son tour. Alors à côté, elle a appris de nombreuses choses : elle allait d’échoppe en échoppe pour apprendre les métiers des artisans de la ville entourant le château : comment tisser une étole de lin, comment tresser un panier en osier, comment forger un fer à cheval ou comment confectionner les bijoux. Elle était assez attirée par la confection des remèdes, mais de peur que sa fille ne découvre le secret de la magie de sa mère, Bohort l’en a détourné subtilement. La jeune femme avait donc jeté son dévolu sur les bijoux. Cela plaisait grandement à son père. C’est donc dans la joaillerie de l’époque que s’est lancée la jeune fille.
 
Sans vraiment prendre le temps de se soucier des autres, Alix était tout de même très appréciée : malgré son fort caractère et sa frustration de ne pouvoir devenir chevalier, elle s’est fait de nombreux amis et était respecté de tous pour sa facilité à donner un coup de main malgré son rang. Elle ne rechignait jamais à aider les autres et était curieuse de tout apprendre. La plupart des habitants y voyaient de la gentillesse et une grande ouverture d’esprit donc ne bénéficiait pas forcément les autres jeunes de son rang. Et bien sur dans tout ça, dans cette recherche d’avenir et de voie, de réponses à ses questions et de tentatives pour trouver sa place, Alix n’avait pas trouvé son âme sœur. Pas encore. Elle avait de nombreux amis parmi les chevaliers et peut être était-ce l’un d’eux ? Peut-être, Alix ne savait pas vraiment.
 
Enfin, c’est en traînant dans la bibliothèque du château que la jeune fille a mis la main sur une partie du secret entourant sa mère sans s’en rendre compte : elle est tombée sur de vieux manuels de magie. Oubliés là, dans une alcôve un peu à l’écart, elle les a empruntés pour les lire curieuse. Prudente bien sur, pour ne pas être prise avec cela, mais curieuse. C’est comme ça qu’elle a découvert sa magie. Mais elle n’a jamais été vraiment capable de s’en servir faute de quelqu’un pour l’aider à comprendre et la guider. Enfin, quand la malédiction est tombée, elle a tout oublié et s’est réveillée dans la peau de Chandra Jenkins, jeune fille ordinaire à la recherche de son avenir. Mais grâce à la magie de sa mère qui coulait dans ses rêves, son inconscient lui remonte parfois des restes de son passé, d’avant la malédiction : par des rêves, des lapsus ou des actes manqués ou parfois même quand elle griffonne des dessins (mal dessinés mais dessins tout de même) sur sa feuille de note en cours. Elle ne s’en rend pas vraiment compte et n’est évidemment pas en mesure d’appréhender ces signes, résidus de son inconscient conservé grâce à la magie qui coulait dans ses veines à Camelot.

En vrai, je me nomme Oups mais sur le web on m'appelle Racoon. Actuellement j'ai 22 ans, et si j'ai bien regardé dans ma culotte, je suis une fille. Je me suis fait piéger sur Keep it Secret par facebook, et j'aimerai dire que je sens que je vais me plaire ici ! Après maintes recherches et hésitations, j’ai enfin trouvé quoi faire de la globalité du personnage que j’ai imaginé ! Fiiiou